Après une longue réflexion sur ce que je vais faire dans cette maison et ce que le Plan Local d’Urbanisme me permet, j’obtiens mon permis de construire.
Je suis fière d’appartenir à l’association « Castors Rhône-Alpes », où je rencontre des femmes encore plus auto-constructrices que moi.

Là, la casse démarre à grande vitesse



et grande poussière de 200 ans …
Éric s’occupe de la destruction des éléments porteurs : des murs de 50 cm d’épaisseur. Il est très courageux et minutieux dans son travail. La maison ne va pas s’écrouler.

et il reconstruit ensuite …
Le plancher existant est détruit, car il faut le surélever de 60 cm pour créer une hauteur correcte au rez-de-chaussée. On voit la pose du premier IPN.



On casse le mur jusqu’au toit, qui doit maintenant être supporté par la nouvelle structure de charpente. Une belle pièce !
